Pampilles

PAMPILLES

Carrés de mots cen­trés dans la page comme autant de trous de ser­rure par où regar­der le monde. 

Florentine Rey inter­roge avec fan­tai­sie notre rap­port au col­lec­tif, au corps, au langage.
Ses car­rés de mots cen­trés dans la page sont autant de trous de ser­rure par où regar­der le monde. Dans l’intranquillité de ces lieux, nous voi­ci hap­pés de toute part par des « chro­niques » à l’élan vital. L’écriture semble gui­dée par la néces­si­té d’une récon­ci­lia­tion entre l’intime et le dehors.